14 octobre 2003
Départ de Carpinteria pour Los Angeles. Nous sommes arrivée en après midi et après avoir visité un motel dont la qualité laissait à désirer, nous avons plutôt loué au Motel Super 8 près de l’aéroport. Nous avons choisi ce dernier puisqu’il était selon nous sécuritaire. Ce motel possédait une cour intérieure avec des voitures de luxe. De plus, la chambre était équipée d’un réfrigérateur, un micro onde, deux lits doubles. Quelle ne fût pas notre surprise de constater à notre retour de l’épicerie (Paul-Yvon et Yves) que ce motel servait de bordel pour les prostitués qui se retrouvent en très grand nombre dans ce secteur de la ville. Je me suis dit que l’aéroport attirait ces fleurs de trottoirs. Après mûre réflexion, je crois plutôt que ce sont les voyageurs qui sont attirés par de tels bouquets floraux. Nonobstant, comme nous avions pris possession de notre chambre, nous avons passé la nuit. Les voitures de luxe étaient en fait la propriété de souteneurs et au cour de la nuit nous avons eu droit à un va et vient constant. Pas besoin de vous dire que nous avons été dérangé souvent au cours de la nuit par ces âmes en peines venant chercher un réconfort dans les bras de ces dames de petite vertu. En plus, au petit matin c’étaient les avions qui passaient à très basse altitude qui nous offraient leur concert. Nous avons soupé au motel en compagnie de Paul-Yvon et Margo.
Distance parcourue: 143 km.
15 octobre 2003
Au cours de cette journée, avec l’achat d’un tour de la ville au coût de 213.00$ pour deux, nous avons visité la ville de Los Angeles, Hollywood, l’Universal Studios, Hollywood Bvd et les résidences des artistes. Ce qui nous a le plus impressionné c’est la visite de l’Universal Studio où nous avons vu des démonstrations fantastiques de films qui ont marqué l’histoire du cinéma. « Back to the Future » est sans contre dit l’attraction à voir. C’est une mise en scène où nous nous retrouvons partie prenante à la poursuite d’un personnage qui s’est enfui avec un véhicule qui vole à travers le temps. C’est là qu’on peut voir de près la fiction et l’effet qu’elle nous procure. À lui seul, ce manège vaut la visite du studio. Nous avons aussi visité les décors des différents studios. Nous n’avons pas été grandement impressionné par la visite des résidences des vedettes de cinéma, puisque ces dernières construisent leurs maisons à l’abri des regards des curieux et c’est très bien ainsi. En fait nous ne voyons pas grand-chose. Par contre la visite de la marina, du boulevard des étoiles, de Beverley Hill et de la région est bien. Nous sommes revenus à notre motel vers 17h30. Par chance que nous étions avec un groupe organisé puisque qu’il y avait grève générale dans les transports en commun cette journée là. Malgré cela, notre retour s’est fait sans heurt et dans un temps raisonnable (environ une heure).
16 octobre 2003
Journée de repos. Comme nous avions été accepté par la faune de notre établissement hôtelier, nous nous y sentions un peu plus à l’aise. Au cours de cette journée j’ai pratiqué le sport favori des résidents de la ville. C’est curieux de constater comment les los angéliens prennent soin de leurs autos même si elles sont vieilles. Je ne sais pas s’il en ait ainsi de leurs conjoints respectifs. Il y a beaucoup d’endroits où faire laver son véhicule et ceci à très bas prix. Donc vers 9h00, je me présente à un lave auto pour profiter du tarif des lèves tôt. Comme il fait toujours beau, j’observai la horde de chicanos dorloter mon véhicule autant à l’intérieur qu’à l’extérieur pour un prix de 7.00$. Pas besoin de vous dire que mon anglais à cet endroit ne m’a pas beaucoup aidé; j’aurais été mieux servi par l’espagnol. Chaque matin à Los Angeles je marchais une heure dans les rues du quartier. J’observais même le matin, que les travailleuses de plaisirs étaient en plein recrutement. Je me suis dit, c’est probablement l’effet de la testostérone matinale qui accentuait le besoin des clients et qu’elles étaient là pour assouvir leur plaisir naturel. On ne peut pas dire que le métier de putain soit un métier de tout repos. Leurs heures de travail vont du petit matin du matin au petit matin de la nuit. Qui travail autant? Comme nous avions décidé de manger pour le souper à la chambre en compagnie de nos compagnons de voyages, Paul-Yvon et moi sommes partis faire l’épicerie. dans une petite boucherie mexicaine. Nous y avons déniché de très bons fromages, jambons, pains et salsa à un prix qui défie toute concurrence même avec l’effet du taux d’échange. La salsa était très bonne et surtout très piquante.
Départ de Carpinteria pour Los Angeles. Nous sommes arrivée en après midi et après avoir visité un motel dont la qualité laissait à désirer, nous avons plutôt loué au Motel Super 8 près de l’aéroport. Nous avons choisi ce dernier puisqu’il était selon nous sécuritaire. Ce motel possédait une cour intérieure avec des voitures de luxe. De plus, la chambre était équipée d’un réfrigérateur, un micro onde, deux lits doubles. Quelle ne fût pas notre surprise de constater à notre retour de l’épicerie (Paul-Yvon et Yves) que ce motel servait de bordel pour les prostitués qui se retrouvent en très grand nombre dans ce secteur de la ville. Je me suis dit que l’aéroport attirait ces fleurs de trottoirs. Après mûre réflexion, je crois plutôt que ce sont les voyageurs qui sont attirés par de tels bouquets floraux. Nonobstant, comme nous avions pris possession de notre chambre, nous avons passé la nuit. Les voitures de luxe étaient en fait la propriété de souteneurs et au cour de la nuit nous avons eu droit à un va et vient constant. Pas besoin de vous dire que nous avons été dérangé souvent au cours de la nuit par ces âmes en peines venant chercher un réconfort dans les bras de ces dames de petite vertu. En plus, au petit matin c’étaient les avions qui passaient à très basse altitude qui nous offraient leur concert. Nous avons soupé au motel en compagnie de Paul-Yvon et Margo.
Distance parcourue: 143 km.
15 octobre 2003
Au cours de cette journée, avec l’achat d’un tour de la ville au coût de 213.00$ pour deux, nous avons visité la ville de Los Angeles, Hollywood, l’Universal Studios, Hollywood Bvd et les résidences des artistes. Ce qui nous a le plus impressionné c’est la visite de l’Universal Studio où nous avons vu des démonstrations fantastiques de films qui ont marqué l’histoire du cinéma. « Back to the Future » est sans contre dit l’attraction à voir. C’est une mise en scène où nous nous retrouvons partie prenante à la poursuite d’un personnage qui s’est enfui avec un véhicule qui vole à travers le temps. C’est là qu’on peut voir de près la fiction et l’effet qu’elle nous procure. À lui seul, ce manège vaut la visite du studio. Nous avons aussi visité les décors des différents studios. Nous n’avons pas été grandement impressionné par la visite des résidences des vedettes de cinéma, puisque ces dernières construisent leurs maisons à l’abri des regards des curieux et c’est très bien ainsi. En fait nous ne voyons pas grand-chose. Par contre la visite de la marina, du boulevard des étoiles, de Beverley Hill et de la région est bien. Nous sommes revenus à notre motel vers 17h30. Par chance que nous étions avec un groupe organisé puisque qu’il y avait grève générale dans les transports en commun cette journée là. Malgré cela, notre retour s’est fait sans heurt et dans un temps raisonnable (environ une heure).
16 octobre 2003
Journée de repos. Comme nous avions été accepté par la faune de notre établissement hôtelier, nous nous y sentions un peu plus à l’aise. Au cours de cette journée j’ai pratiqué le sport favori des résidents de la ville. C’est curieux de constater comment les los angéliens prennent soin de leurs autos même si elles sont vieilles. Je ne sais pas s’il en ait ainsi de leurs conjoints respectifs. Il y a beaucoup d’endroits où faire laver son véhicule et ceci à très bas prix. Donc vers 9h00, je me présente à un lave auto pour profiter du tarif des lèves tôt. Comme il fait toujours beau, j’observai la horde de chicanos dorloter mon véhicule autant à l’intérieur qu’à l’extérieur pour un prix de 7.00$. Pas besoin de vous dire que mon anglais à cet endroit ne m’a pas beaucoup aidé; j’aurais été mieux servi par l’espagnol. Chaque matin à Los Angeles je marchais une heure dans les rues du quartier. J’observais même le matin, que les travailleuses de plaisirs étaient en plein recrutement. Je me suis dit, c’est probablement l’effet de la testostérone matinale qui accentuait le besoin des clients et qu’elles étaient là pour assouvir leur plaisir naturel. On ne peut pas dire que le métier de putain soit un métier de tout repos. Leurs heures de travail vont du petit matin du matin au petit matin de la nuit. Qui travail autant? Comme nous avions décidé de manger pour le souper à la chambre en compagnie de nos compagnons de voyages, Paul-Yvon et moi sommes partis faire l’épicerie. dans une petite boucherie mexicaine. Nous y avons déniché de très bons fromages, jambons, pains et salsa à un prix qui défie toute concurrence même avec l’effet du taux d’échange. La salsa était très bonne et surtout très piquante.
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